En fait et en vérité, il n’y a que les conventions qui font la vie, et leur respect donne à la vie tout son sens.
Aujourd’hui, c’en est une : la fête des pères.
Après une journée de méditation, je viens dire bonne fête Papa :
- au Père de la nation béninoise, à qui je voue soutien et admiration continus,
- à mon Pater intellectus, qui m’a un jour élevé à mon dernier grade,
- à mon Père biologique, d’outre-tombe, lui qui m’a donné la vie et les richesses qui s’en suivent,
- à tous mes frères et amis,
et enfin à tous ceux qui, un jour, ont essayé le rôle si noble de père.
A vous tous merci !
Vivons, c’est un devoir.
Dr Oswald KPENGLA-S.